Euh…Le « flop » , oui mais…

vodka-pirojki-et-caviarDésolée…Je viens de mettre de côté deux polars, l’un aux deux tiers et l’autre à la moitié. Un peu d’ennui, et si je lis ce n’est pas pour m’ennuyer. Comme d’habitude, je suis allée voir ce que d’autres disaient de ces livres ( dont « Unwalkers » avec qui je suis souvent en phase…mais pas là ), et une fois de plus…enfin bref ! 

« Vodka, pirojki et caviar » de Monica Kristensen, chez l’excellente maison Gaïa – polar, traduit par Loup-Maëlle Besançon; je pense que je le finirai parce qu’il y a  beaucoup de choses intéressantes, historiques et culturelles, sur les relations complexes entre la Russie et la Norvège, mais des personnages flous, qui après 200 pages n’ont pas pris corps…Dommage, c’est plutôt bien écrit, mais je finirai les 100 dernières pages.

« Little rock » de John Brandon, au Masque, traduit par Dominique Chevallier, me promettait de bons moments dans mon fauteuil ( oui, parce que la chaise longue en sirotant frais, en ce moment… ),, la 4ème de couv’ annonçant  » Un roman noir et grinçant entre Tarantino, les frères Coen et Cormac McCarthy »,  et déception ! …

trois-hommes-deux-chiens-et-une-langousteParce que dans le genre, sur ce thème des laissés pour compte qui vivent de petits boulots et de trafics en attendant des jours meilleurs, dans un monde à deux vitesses, eh bien j’ai lu l’excellent « Trois hommes, deux chiens et une langouste » de Iain Levison ( Liana Levi, traduit par Fanchita Gonzalez Battle ), qui lui, vraiment, m’a évoqué « The Big Lebovski », un vrai régal d’humour désabusé, par un écrivain qui a vécu cette vie de petits boulots (  » Tribulations d’un précaire » même éditrice, même traductrice, même qualité, tout en n’étant pas un roman ). Levison développe un humour et un talent de portraitiste  formidables, dans la concision et la précision, avec toujours une intrigue bien menée; John Brandon, s’il a des qualités d’écriture évidentes, avec parfois un sens poétique assez beau, n’arrive pas à me faire entrer dans cet univers décalé. L’humour n’est pas flagrant, la noirceur un peu plus. Bon, il me reste la moitié à lire et c’est un premier roman. Je ferai un bilan de ces deux livres quand je déciderai de les terminer, mais là, en ce moment, j’ai envie d’un bon bouquin, j’en ai commencé un hier…On verra.

mini2-30999486les-tribulations-d-un-precaire-jpgEn attendant je vous conseille tous les livres de Iain Levison, je les ai tous lus et tous aimés !

Et pour le plaisir, et parce que  je ne me lasse pas de ce film, petit dialogue en VO, Walter « pète un câble » :

 

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