Pascal Garnier était l’ami de Marcus Malte…Je n’en doute pas une seconde. J’ai retrouvé le sens du tragique de l’un dans l’écriture de l’autre. Par contre, si Pascal Garnier désamorce un poil le drame à l’aide d’un humour sinistre et grinçant, point de rire, ni de sourire ici : ce texte est d’une noirceur terrible. Du début jusqu’à la fin, Malte distille un lent poison : le chagrin, puis la folie engendrée par une insoutenable douleur.
Sur le thème du « coucou », je n’ai jamais rien lu d’aussi effrayant. Ce ne sont que 84 pages, mais qui valent bien certains ouvrages de 500…Concentré, direct à l’estomac, et hyper efficace.
Merci à ma copine Chantal qui me l’avait mis de côté, elle me connaît bien !
J’ai aimé !
c’est tout à fait ça !
gros coup de poing que cette histoire !
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Ouais, j’en ai pris un autre après ( j’ai même oublié le titre ! ) pas bien, rasoir, dommage !
Mais « Canisses » oui oui oui !
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Je n’ai pas tout lu de lui, mais les Harmoniques est une merveille pour moi ! C’est ptet celui-là ? 😉
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Non, c’est pas celui-ci, je crois que c’était un truc du genre « Nous avons la nuit devant nous », ça m’a ennuyée !!! Que c’est rien d ele dire, et d’ailleurs je ne l’ai pas fini…
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