J’ai reçu cette carte de la main de John Irving après lui avoir écrit par le biais de son agente en France. Je venais de finir « Une veuve de papier » qui, s’il n’est pas son meilleur livre, m’avait bouleversée, pour son personnage féminin, pour les résonances que ça éveillait en moi.
« Both Casey and Irving have generally been incredibly generous signers, though Irving currently has a no autograph policy because of the number of projects he is working on. Still, he occasionally responds to particularly heart-felt letters, so make sure to really do your research and pour your guts out if you’re going to send off for that one. » ( en gros, Irving n’est pas avare de signatures, et même il répond aux lettres venant du cœur, alors si vous vous apprêtez à lui écrire, sortez vos tripes ! Traduction approximative by myself !)
http://autographmagazine.com/2009/12/book-collector-the-men-who-wintered-in-iowa/#/
Et bien… C’est vraiment son écriture ? Une petite étude graphologique ?
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Ben ouais, c’est son écriture, au stylo plume, vous croyez que je raconte des craques ??? …Etude graphologique ? Mmmm…Vous en faites ? Moi, j’aime bien ma mythologie, celle de la lectrice que je suis et qui rêve. Mais je crois sincèrement qu’Irving est ce qu’on appelle couramment un type bien, capable de répondre à une lectrice. Pas vous ?
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ah ouais carrément
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La dame du commentaire précédent, elle ne croit pas que ce soit son écriture !
Je n’y croyais pas quand j’ai trouvé la carte dans la boîte aux lettres.
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Bonsoir, je ne lis pas trop l’anglais, mais alors jeter un oeil ici, en bas de page :
http://autographmagazine.com/2009/12/book-collector-the-men-who-wintered-in-iowa/#/
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Merci merci Thierry ! L’article est intéressant ( je rame un peu aussi en anglais, mais j’ai bien compris le sujet global ) et bon, la signature d’Irving est bien celle de ma carte ! Avec le trait qui remonte à la fin du G…C’est pour moncafélecture, parce que je n’ai jamais douté une seconde que cette carte était de lui. Et c’est juste touchant cette carte, pas autre chose. Quant un auteur aimé répond à une lettre, ça fait quelque chose, c’est tout.
Sinon, ça va en Comté ?
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