Je n’ai toujours pas lu « Les ardents », mais ça ne saurait tarder. Je garde un très beau souvenir de « Matière première », et notamment de la longue nouvelle consacrée à la rencontre entre un photographe et (si ma mémoire est bonne) une danseuse désormais âgée. Il faudrait relire cette nouvelle, dont je garde les images, les lumières, qui entourent la relation de ces deux personnages. Une relation ephémère, esthétique, pleine de pudeur…
En attendant, je vais relire avec plaisir cet entretien que tu avais fait avec Nadine Ribault, et qui témoigne de la qualité de sa plume, de son érudition et de son exigence (je pense) concernant son travail !
Les auteurs sont des gens qui nous ouvrent un autre monde, qui nous offrent la beauté des mots, parfois ( surtout de nos jours avec les réseaux sociaux ), on a la chance de parler, d’écrire à l’un d’eux et si en plus de leurs ouvrages qui nous ont fait rêver et voyager. La disparition d’un de ces êtres est d’une grande tristesse! Je me souviens avec pleuré lorsque j’ai appris le décès de Jan Kerouac et de Jim Harisson. Je ne connaissais pas Nadine Ribault mais peu importe! Je me rends compte en te lisant que c’était non seulement une grande autrice mais aussi quelqu’un de profondément humain! Heureusement, les grands auteurs continuent à vivre à travers nous, les lecteurs!
Je suis comme toi, les gens dont on a aimé l’esprit à travers leur œuvre sont comme des amis, proches de nous…Et Nadine Ribault est à mon sens une des plus belles plumes que j’aie rencontrées. Et une personne de choix. Cette disparition m’affecte vraiment. Nous avions échangé hors champ.
Et puis il faut dire que ce roman est comme prémonitoire, et on y voit aussi l’infinie répétition des errements humains, comme si jamais on ne tirait leçon… Un livre incroyable tant, surtout en ce moment, il dit bien celà, l’éternelle incurie des humains. Même si la fin du livre… A lire, vraiment à lire.
La livrophage 
Je n’ai toujours pas lu « Les ardents », mais ça ne saurait tarder. Je garde un très beau souvenir de « Matière première », et notamment de la longue nouvelle consacrée à la rencontre entre un photographe et (si ma mémoire est bonne) une danseuse désormais âgée. Il faudrait relire cette nouvelle, dont je garde les images, les lumières, qui entourent la relation de ces deux personnages. Une relation ephémère, esthétique, pleine de pudeur…
En attendant, je vais relire avec plaisir cet entretien que tu avais fait avec Nadine Ribault, et qui témoigne de la qualité de sa plume, de son érudition et de son exigence (je pense) concernant son travail !
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Oui..Je suis infiniment triste, c’était une personne comme on en rencontre peu dans une vie.
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Les auteurs sont des gens qui nous ouvrent un autre monde, qui nous offrent la beauté des mots, parfois ( surtout de nos jours avec les réseaux sociaux ), on a la chance de parler, d’écrire à l’un d’eux et si en plus de leurs ouvrages qui nous ont fait rêver et voyager. La disparition d’un de ces êtres est d’une grande tristesse! Je me souviens avec pleuré lorsque j’ai appris le décès de Jan Kerouac et de Jim Harisson. Je ne connaissais pas Nadine Ribault mais peu importe! Je me rends compte en te lisant que c’était non seulement une grande autrice mais aussi quelqu’un de profondément humain! Heureusement, les grands auteurs continuent à vivre à travers nous, les lecteurs!
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Je suis comme toi, les gens dont on a aimé l’esprit à travers leur œuvre sont comme des amis, proches de nous…Et Nadine Ribault est à mon sens une des plus belles plumes que j’aie rencontrées. Et une personne de choix. Cette disparition m’affecte vraiment. Nous avions échangé hors champ.
Et puis il faut dire que ce roman est comme prémonitoire, et on y voit aussi l’infinie répétition des errements humains, comme si jamais on ne tirait leçon… Un livre incroyable tant, surtout en ce moment, il dit bien celà, l’éternelle incurie des humains. Même si la fin du livre… A lire, vraiment à lire.
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Je l’ai découvert avec Les Ardents, une écriture et un univers que j’ai appréciés….. Triste 😦
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Moi aussi, très triste…
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