Le choeur des esclaves dans « Nabucco » de Giuseppe Verdi Publié le 17 avril 2014 par lectriceencampagne Ce matin, j’ai envie de lyrisme, mais pas trop, de beauté en grande quantité, de quelque chose qui enlève le cœur de sa cage, et Verdi est l’homme qu’il me faut…Voyez comme ses yeux brillent … Partager :FacebookRedditWordPress:J’aime chargement…
De nos êtres imparfaits naît parfois la perfection et le sublime !!! Et ça, c’est plus prodigieux que les dictas de Marie Claire ! Bises ma Livrophage J’aimeJ’aime Répondre ↓
De nos êtres imparfaits naît parfois la perfection et le sublime !!!
Et ça, c’est plus prodigieux que les dictas de Marie Claire !
Bises ma Livrophage
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Tout pareil, ma fée !
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